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Des chèques de relance refusés, les familles «impuissantes» demandent l'aide de groupes locaux

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Par Justin Papp

Les obstacles sont venus un à un.

En raison d'un problème de santé, le mari de Nidia Marin s'est retrouvé dans l'incapacité de travailler. Puis, avec la propagation de la pandémie de COVID-19, Marin a perdu son emploi de femme de ménage. La pression financière sur la famille n'a été qu'accentuée lorsque, début mai, le résident de Bridgeport, âgé de 43 ans, a été diagnostiqué avec le virus et a dû se faire soigner.

Cependant, par l'intermédiaire de l'employeur de son mari, Marin, qui n'a pas de papiers, a accès aux soins de santé, un luxe qui n'est pas offert à la plupart des gens de l'État et du pays sans statut juridique.

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